
L’école qui classe
2016, 312 pagesIntroduction
1 – Se convertir à l’école dans les classes populaires
Rendre compte de l’hétérogénéité des classes populaires
Les familles populaires face à l’impératif scolaire
2 – Scolariser l’ensemble d’une classe d’âge au collège
Arthur Rimbaud et Elsa Triolet : un collège « banal », l’autre « musical »
Les transformations disciplinaires des établissements scolaires
Les conséquences de la mise en concurrence des établissements
3 – Du primaire au collège : ruptures sociales et scolaires
Les inégalités d’apprentissage à l’école primaire
L’entrée au collège : désorientations et déstabilisations
4 – Les écarts se creusent au collège
Les inégalités de progression de la 6e à la 3e
Les interstices du collège unique
5 – Expliquer les inégalités de progression
La forme scolaire et les dispositions sociales des élèves : deux univers en tension
Les effets de la composition des classes
Sociologiser les mobilisations et découragements
6 – Orienter par les choix ou orienter les choix en fin de 3e
Le travail de la hiérarchie
Quatre principes d’orientation
« BEP : Lequel ? »
7 – Les parcours tumultueux des élèves de classes populaires au lycée GT
Les premiers pas au lycée
Vers le bac
Sursélection ou sous-sélection : l’éclairage d’une analyse localisée
8 – Stratégies de distinction et formes de rupture scolaire en voie professionnelle
La répartition des « professionnels »
La scolarisation de la voie professionnelle
Les études professionnelles ne sont plus des études courtes
Conclusion – Au-delà des trajectoires : le marquage scolaire